Depuis les années 1990 les sociétés maghrébines ont connu un foisonnement sans précédent des associations et une montée en puissance du mouvement associatif. De nombreuses associations sont démunies de moyens financiers conséquents ; elles peuvent être soutenues par la puissance publique ou subventionnées par des organismes internationaux ou des ONG du Nord ; ceci est le cas du Maroc et de la Tunisie.
Qu’en est-il en Algérie où le mouvement est beaucoup plus récent ? Comment renforcer ce mouvement et assurer sa pérennité ?